lundi 24 octobre 2011

Boo lundi

Citrouilles cueillies par les boys samedi et décorées hier! Une semaine pile avant la Louwigne.

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mardi 26 octobre 2010

Laisse faire le cellulaire !

Salut la gang,


(CECI N'EST PAS ENCORE UN VÉRITABLE ARTICLE -- je fais un test pour un client)

Vous l'avez déàjà lu ici à plusieurs reprises: je ne suis plus capaaaaable de voir des gens parler au cell. pendant qu'ils conduisent. Juste. Pu. Capable. C'est une loi, à ce que je sache, non? En tout cas, chaque matin dans le rond-point, c'est le festival du cell. et autres activités distrayantes dans la course effrénée du début de journée. Je pourrais faire un long "rant" là-dessus, mais je vais plutôt passer au vif du sujet: la nouvelle campagne de sensibilisation LAISSE FAIRE LE CELLULAIRE !

Le principe est simple et basé sur que fait déjà Oprah avec son No Phone Zone chez nos voisins du Sud: faire la promesse de ne PLUS se servir de notre cell au volant, point!

Mais comment je fais, je veux embarquer tout de suite, me direz-vous! C'est facile: par le biais du site de la Journée nationale du souvenir des victimes de la route, tu cliques sur le bouton bleu «Laisse faire le cellulaire» et de là, ça se fait presque tout seul.

Ce qui est vraiment cool, c'est qu'ont peut obtenir un autocollant à apposer dans se fenêtre de voiture pour montrer qu'on est fiers de notre promesse, mais pour aussi faire réfléchir les autres. Et c'est sans compter qu'une fois la promesse prise, vous pourrez d'un seul clic publier votre geste sur votre Facebook ou Twitter, et voir votre nom s'ajouter à des centaines d'autres automobilistes responsables sur une carte du Canada. Du coup, vous ferez aussi augmenter le compteur de 1 ;-)

Et pour couronner le tout, un beau petit certificat avec votre nom vous sera généré automatiquement dans le but (si vous le désirez) de l'imprimer chez vous ou simplement le publier sur votre blogue, comme je fais à l'instant (le code vous sera aussi généré automatiquement):

Donc si ça vous tente de rendre une bonne habitude que vous avez déjà prise (hein? hein?) officielle, allez-y, faites la promesse à (((URL caché jusqu'à ce que le site soit live pour vrai))) !

mardi 17 août 2010

Les Banlieues


Ça prend qqch de big pour me faire bloguer ces temps-ci, et vous l'aurez deviné, ce quequechoze, c'est le 3e album d'Arcade Fire, The Suburbs, sorti le 3 août dernier!

Vendu d'avance, je l'avais précommandé dans la demi-heure qui a suivi l'annonce par twitter. Fou? Non, car on pouvait écouter la 1re track du même nom que l'album sur le site. Et tout de suite j'ai compris «oh boy, ça va être différent mais ça va encore torcher. Me wants! Me buys.»

Et quoi de plus capoté que d'écouter pour la 1re fois un album que tu sais que tu vas aimer, tu le sens dans tes trippes d'oreilles, mais tu l'aimes pas encore parce tu le comprends pas! En tout cas avec moi, c'est comme ça que ça se passe. La 1re fois que j'ai écouté Funeral, je suis revolé 10 pieds en arrière sur le Q sans rien comprendre et me souvenir d'aucune mélodie, mais je savais que j'étais en train d'être conquis ben raide. J'essayais d'écouter sans cesse cet étrange disque pour bien le saisir, et un moment donné, au bout de 4-5 écoutes (je suis pas vite!) j'ai comme «compris». C'était 2004 et... je l'écoute encore régulièrement. Puissant ;-)

Pour en revenir aux Suburbs, j'ai mis encore 4-5 écoutes et là j'capote. C'est différent, pas aussi "aréna" et grandiose (en apparence) que les 2 premiers, mais wow... c'est tellement eux autres. Tellement d'influences mélangées, tellement d'instruments, de couches sonores... une maîtrise sans pareille du son «rempli» et du bon ton marié aux sujets. Finie l'étiquette de jeune groupe indépendant prometteur que certains leurs collaient, car après 3 albums ÉPIQUES on peut vraiment dire que cette bande-là sont des légendes vivantes. Pis hey, leur hometown est Mourial, ça ajoute à la fierté non? C'est tellement l'fun d'entendre ou de lire des entrevues (avec Régine) dans notre langue maternelle... On peut se sentir enfin un peu comment les anglophones connectent à un autre niveau avec les artistes qu'ils admirent (ok, certains avaient déjà cette connexion avec Céline mais disons que... c'est pas mon cas!!!)

Bon je passe du coq à l'âne, et on dirait que je ne sais pas où me garrocher pour parler de l'album, alors faisons comme tout bon (mauvais?) PowerPoint et allons-y «bullet-form»:

- C'est pas un album aux grands sujets philosophiques. Juste du concret, la vie des gens en banlieue, les flos, les parents, la perspective des deux, pas de jugement, juste des souvenirs, des impressions, de la sympathie je trouve. C'est bien connu, Hollywood et plusieurs médias sont répugnés par les banlieues, et oui on aborde ici les thèmes d'aliénation légère et de "pas de but dans vie" mais ça demeure plus réaliste, respectueux, et poignant. C'est pas la grosse banlieue evil qui bouffe toutes les ambitions des jeunes etc. Mon opinion en tk.

- J'sais pas si c'est l'opération aux sinus de Win Butler mais me semble qu'il chante mieux que jamais. Pas que j'aimais pas le grichage (dû à de la technologie low fi?) de Funeral ou même du EP avant, au contraire, mais là il se permet de l'aigu pas mal, il me semble. en tout cas c'est hot.

- La version "synced artwork" esr vraiment cool... l'image de l'album avec les paroles écrites à la main dessus change au fur et à mesure que les tounes progressent (dans iTunes ou iPod/iPhone)

- Comme je disais, il y a moins d'extravagances (comme la chorale de No Cars Go, l'orgue de Intervention, les finales complètement démentes de Rebellion, Power Out...) mais les frissons sont au rendez-vous en crime quand même: les deux "bridges" de Suburban War (courronée par une finale puissante, la seule de ce genre dans l'album, mon avis -- et je répète, c'est pas négatif cet aspect), le piano dans Deep Blue).

- La majorité des tounes semblent mollo et sans trop de structure aussi intéressantes quxquelles ils nous ont habitués... au premier abord, mais le plaisir croît avec l'usage, oh que oui.

- Les mots "Kids" et "town / suburb" et leurs dérivés sont dans à peu près toutes les paroles, désolé monsieur le critique frustré du Washington Post, mais ceux que ça agace, ben écoutez autre chose. Votre perte. Mais ce qui est vraiment l'fun, c'est que souvent, les mêmes paroles reviennent partout dans l'album. Au lieu d'avoir l'air non inventif, c'est super intéressant je trouve.

- J'aimerais pour finir faire une mini-critique (bien sûr ce sera tout positif dans l'plafond) toune par toune pour bien cerner les différences:

The Suburbs: Toute une façon de commencer l'album. Ça donne le ton, rafraichit sans dépayser et accroche à merveille. Ti piano et paroles nostalgiques qui assument quand même le présent. J'me tanne pas.

Ready to Start: Superbe enchainement (il y a plusieurs fondus entre les tounes) qui rock. Yeah. Le bridge pseudo techno électro à une minute de la fin est écoeurant.

Modern Man: plus relaxe, semble égale et répétitive mais vers la fin on a encore de petites twists qui viennent rendre ça surprenamment agérable.

Rococo: tellement weird! Mais bon bien sûr. Grosse guit au début, et une mélodie quasiment médiévale. Original!

Empty Room: Très courte toune qui rock chantée par Régine. Un bonbon!

City with No Children: un "clapper" pas mal entrainant.

Half Light I: Régine revient à la charge, cette fois c'est atmosphérique et la fin "they only echo" s'approche des finales grandioses arcadefiresques. Une fois de plus, on se sent bien rempli des oreilles.

Half Light II: totalement différentes, un beat funky avec encore des cordes géniales, et une fin typiquement non-cacophoniquement bien remplie!

Suburban War: la plus épique de l'album, probablement. Des cordes chargées d'émotion, et comme je le mentionnais plus haut, deux bridges magistraux. Le premier avec piano, et le dernier avec de puissants beats à faire frissonner une roche, "toppés" par la suite par des voix genre chorale... En show ça doit être complètement mental.

Month of May: la plus crue, facile à aimer, gros beat électro genre vieux punk avec des bruits de vent enreigstrés dans les rues de Mourial! Apprécions ici la rythmique des paroles (ex.: "But how you gonna lift it with your arms folded tight") et comment ne pas aimer «2009, 2010, Wanna make a record how I felt then». :-)

Wasted Hours: pas ma préférée, mais les "la la la" de Régine en background font que je ne la skip jamais.

Deep Blue. Wow, c'est aigu, très à fleur de peau quand le piano embarque, wouuushh! Et comment ne pas aimer «Kasparov, Depp Blue, 1996» ? Et «Let the century pass me by». PS: Deep Blue est le premier ordinateur a avoir gagné aux échecs contre un champion du monde, Gary Kasparov, en 1996. Mais Kasparov a ensuite gagné la série 3 victoires, 2 nulles et 1 défaite. PPS: Il a perdu la série l'année suivante alors que IBM a tweaké Deep Blue '97 encore plus, et n'a pas voulu montrer les dernières games de la machine alors que la team d'IBM a pu étudier les moindres moves du champion. Kasparov a aussi soupçonné du trichage pendant les parties, s'est fait refuser de voir les logs, et IBM a même décliné un combat revanche. WEIRD. Go humans go!!!!

We Used to Wait: encore là, le pianotage répétitif et les backvocals de Régine en contraste et décalés avec la voix de Win (vers la fin) amènent cette bonne petite toune à un niveau arcadefirien. Toujours efficace.

Sprawl I: ma moins préférée. La plus mollo et lente, sans point plus fort. Mais...


... ça mène de belle façon à Sprawl II, déjà une "fan-favorite", avec une fois de plus Régine qui chante sur un beat rétro années 80 vraiment cool et accrocheur. Wow! Ça finit bien...

The Suburbs (Continued)... mais c'est pas fini! Ce mini ramassis de paroles piqués dans l'album et quasiment improvisés, presque chuchotées, vient clore ce chef-d'oeuvre de façon vraiment satisfaisante. La boucle est bouclée mais... GO on le récoute en boucle! :-)

Bref un commentaire final sur ce groupe génial: plus je les écoute, plus j'ai l'impression que c'est (toujours selon mes goûts) le collage ultime, la culmination de l'évolution de plusieurs genres musicaux... C'est comme s'ils pouvaient faire n'importe quoi, tant que l'émotion passe avant tout, et ils ont juste du fun à faire leur job, sans aucune pression, sans essayer de plaire à personne. Et à sept musiciens (+ 2 ou 3 autres en show), chaque mélodie tient quasiment du miracle pour que ça marche autant! Mais pour les apprécier vraiment, il faut les voir à l'oeuvre sur YouTube ou en show, c'est assez intense et impressionnant.

Pour ajouter au fun, l'album vient en 8 différentes couvertures. L'image ci-haut, c'est la version que j'ai reçue.

Bon j'vais m'coucher! Désolé pour les fautes et le radotage, je ne me suis même pas relu.

vendredi 30 avril 2010

blog de hockey

Mon pote Guillaume a un blogue de hockey où la franche rigolade est de mise :)

http://aveclabande.blogspot.com/

jeudi 29 avril 2010

L'histoire s'est écrit (un peu plus, hier)

Et soudainement, la campagne pub des Playoffs est meilleure ;-)



Merci à la LNH d'avoir réagi aussi rapidement pour garder l'émôôôtion à son maximum!

vendredi 16 avril 2010

Parody will be made

Ça prend bien du hockey pour me faire bloguer... voici quelques bonnes parodies de la campagne de pub télé de la LNH pour les Séries "History WIll Be Made" («L'histoire s'écrira»).
 
D'ailleurs, en français, elles ne sont pas trop bonnes je trouve. Trouvez-vous que celle de Gretzky est boiteuse avec la phrase «Et s'il n'avait pas eu de Merveille?». On aurait tu comme oublié un «Y» ici?
 

mercredi 24 mars 2010

Photoshop - Content Aware Fill

Est-ce que vous avez vu ce vidéo sur le blog de Photoshop ? Ce n'est pas parfait, mais disons que ça peut sauver beaucoup de temps :)

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